Malgré les critiques qu’elle a suscitées, c’est une privatisation à laquelle tenait tout particulièrement le ministre de l’économie, Emmanuel Macron. La voilà qui tourne maintenant au scandale : le principal dirigeant chinois auquel a été cédé par l’État français la gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac a disparu depuis plus d’un mois, et son nom aurait été cité dans une enquête pour corruption.
C’est une dépêche Reuters, passée totalement inaperçue en France, qui a levé le lièvre. Diffusée par le bureau de Hong Kong de l’agence de presse, lundi 22 juin à 11 h 14, la dépêche (qui peut être consultée ici) est de prime ...
